Aux cinquante-cinq ans, mes ilusions sont alées, et je vive une vie partagé et vécue, les enfants sont adultes, loin dans leur monde où je ne suis accepté, unconnu comme le demain.
J'avait une femme, nous avons creé longtemps en l'amour comme s'il faut une fleur eterne, et depuis, ont trouvé que l'eternité n'existe pas. Parfois ni l'amour...
Je suis perdu, je ne regarde pas le chémin - ait-il quelque chémin?
Ma vie, sa vie, mais...quelle vie?
C'est la vie, ont peut dire. Voilá! La vie en rose, quand on ait beaucoup d'ilusions. Mais elles dissoudraient si nous croyons que rien pourra changer notre monde a deux. Les fils sont les premières qui la changent.
Quelle vie?
Par Luiz Leitão
Journaliste, Brésilluizmleitao@gmail.com
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