Intrigada, esta mulher de Luoyang, província de Henan, norte da China, recolhe um pouco de água do Rio Jian, cujas águas estão vermelhas há alguns dias.
Duas fábricas clandestinas admitiram ter despejado dejetos tóxicos no rio.
Intriguée, cette jeune femme de la ville de Luoyang, dans la
province du Henan, au nord de la Chine, recueille un peu d'eau de la rivière
Jian dont les eaux coulent rouge depuis quelques jours.
Deux usines
clandestines, ont reconnu avoir déversé des boues toxiques dans la rivière.
Près de neuf ans après l'intervention contre le régime de
Saddam Hussein, l'armée américaine a officiellement marqué aujourd'hui la fin de
sa présence en Irak en repliant symboliquement la «bannière étoilée» en présence
du chef du Pentagone, Leon Panetta. Les quelque 4000 soldats américains encore
déployés sur le sol irakien rentreront au Etats-Unis avant le 31 décembre,
laissant derrière eux un pays fragilisé. Le président Barack Obama, qui avait
fait du retrait des troupes une promesse électorale, a assuré au Premier
ministre irakien, Nouri al Maliki, que Washington resterait un partenaire loyal
de Bagdad après le retrait des dernières troupes. Reuters
Intriguée, cette jeune femme de la ville de Luoyang, dans la
province du Henan, au nord de la Chine, recueille un peu d'eau de la rivière
Jian dont les eaux coulent rouge depuis quelques jours. Deux usines
clandestines, ont reconnu avoir déversé des boues toxiques dans la rivière.
AFP ImageForum
Jacques Chirac, premier ancien président de la République à
être jugé en correctionnelle, a été déclaré coupable aujourd'hui dans les deux
volets de l'affaire des emplois présumés fictifs de la ville de Paris, qui
remonte au début des années 1990, quand il était maire de la capitale. Jacques
Chirac, 79 ans, a été déclaré coupable de «détournement de fonds publics» et
«abus de confiance» dans le volet parisien de l'affaire, qui porte sur 21
emplois rémunérés par la mairie de Paris au début des années 90. L'ex-chef de
l'Etat a aussi été déclaré coupable de «prise illégale d'intérêt» dans le 2e
volet de l'affaire, qui avait été instruit à Nanterre. Patrick Kovarik/AFP
Nicolas et Carla Sarkozy ont sacrifié, mercredi, au rituel de
l'arbre de Noël de l'Elysée en distribuant des cadeaux aux enfants du personnel
de la présidence et d'associations, réunis l'espace d'un après-midi sous les ors
de la République. Le président et la Première dame ont passé de longues minutes
au milieu de leurs 900 invités, qui se bousculaient pour recueillir une bise, un
autographe ou se faire photographier avec eux. Eric
Feferberg/AFP
Saint Malo s'est réveillé ce matin dans la tempête, son
littoral frappé par des vagues puissantes poussées par la houle et un vent
violent. Onze départements, sur toute la façade ouest du pays, ont été placés en
vigilance orange jusqu'à vendredi. «Les rafales atteindront 120 à 130 km/h,
voire localement 140 km/h sur le littoral. Dans l'intérieur les rafales
avoisineront 90 à 110 km/h, s'élevant localement jusque 120km/h», selon Météo
France. Damine Meyer/AFP ImageForum
Accompagnée. La députée européenne italienne Licia
Ronzulli avait déjà fait sensation l’année dernière. Mercredi, la jeune maman a
de nouveau participé à une séance plénière au Parlement européen de Strasbourg,
en compagnie de sa fille. Car même si le règlement, assez souple, permet aux
mères de venir avec leur enfant, la scène est assez inhabituelle. Problème de
baby-sitter ? Pas vraiment. L'Italienne de 36 ans, ancienne puéricultrice de
Milan revendique de meilleurs droits pour les femmes. «Je suis ici
symboliquement avec ma fille Vittoria pour penser à toutes les femmes qui ne
peuvent pas concilier sereinement grossesse et emploi, vie professionnelle et
vie familiale. Je souhaiterais que les institutions européennes soient plus
engagées à ce sujet, à commencer par le Parlement européen, pour que nous
puissions toutes mener à bien ces deux vies», a-t-elle dit. (Vincent Kessler/REUTERS)
Acte fou. Le marché de Noël de la place Saint-Lambert
de Liège en Belgique, en plein centre-ville, avait été fermé par crainte des
bourrasques de vent. Mais, à 12h30, la tragédie n’est pas venue du ciel. Nordine
Amrani, 33 ans, a semé la mort en quelques secondes. Repris de justice et expert
en armes à feu, il a d’abord lancé plusieurs grenades sur les abribus bondés
situés à quelques mètres de lui, avant de sortir un fusil d’assaut de son sac et
de tirer sur la foule. Pour l’heure, le bilan de ce coup de folie est de six
morts et de plus de 120 blessés qui ont été pris en charge dans plusieurs
hôpitaux de la ville et de la région. Le procureur général de Liège, Cédric
Visart de Bocarmé, a précisé que le tireur s'était visiblement «soigneusement
préparé». (REUTERS)
Tensions. Nombreux sont ceux qui s’inquiètent du sort
réservé à Ioulia Timoshenko. Alors, les partisans de l’ancien premier ministre
ukrainienne ne cessent ainsi de manifester devant le tribunal de Kiev où
s’ouvrait mardi son procès en appel. L’avocat de Ioulia Timoshenko a insisté sur
l‘état de santé de sa cliente, qui souffre du dos: « Jeudi il y a eu une
audience illégale dans sa cellule et elle ne pouvait pas se lever. Vendredi il y
a eu une autre audience et hier en tant qu’avocat de la défense je l’ai
rencontrée dans sa cellule parce qu’elle ne peut pas marcher. Pour la soigner
maintenant il faudrait être Jésus-Christ, pas un docteur de la gestapo du
service pénitentiaire.» Ioulia Timoshenko se dit victime d’un lynchage politique
orchestré par son ancien rival, l’actuel président. Elle purge une peine de 7
ans de prison à propos d’un contrat gazier avec la Russie. (Sergei Supinsky/AFP)
Contre la charia. Les punks se plaignaient depuis des
mois de harcèlement, mais l'intervention de samedi est de loin la plus violente.
Après avoir arrêté 65 jeunes qui assistaient à un concert, les autorités d'Aceh,
en Indonésie, leur ont rasé les cheveux et retiré leurs piercings, jugés comme
une menace pour les valeurs islamiques. La police a également retiré les
colliers de chien et les chaînes portés par les jeunes gens, qui ont été
contraints de se laver dans un lac pour un nettoyage «spirituel». Ces actes
démontrent la volonté des autorités de promouvoir des valeurs morales strictes
dans cette province, la seule du pays à avoir imposer la loi islamique la plus
stricte, dans un pays laïc mais en grande majorité musulman. (Chaideer Mahyuddin/AFP)
Coûte que coûte. Cette femme n’a qu’un but : sauver
son enfant. Alors, elle prend patience et espère l’arrivée d’un médecin à Ras
Kamboni. Cette zone tampon, le long de la frontière somalienne, est toujours une
zone interdite et fait l’objet d’une surveillance stricte de l’armée. Et même
pour des cas d’extrême urgence, les protocoles doivent être respectés. Elle n’en
peut plus, mais ne lâchera jamais. (Carl de
Souza/AFP)
Décolleté trop profond. Voici un de ces shows comme savent
les organiser les Chinois. Des vedettes à profusion, des robes magnifiques et un
incident. Vengeance purement féminine ou accident ? Toujours est-il que la robe
de l’actrice Sun Feifei est restée coincée sous le pied de la personne qui la
suivait lors d’une cérémonie ce dimanche à Pékin. Le résultat : la belle a été
obligée d’aller se rhabiller en coulisse. Aux dernières nouvelles, personne n’a
porté plainte pour attentat à la pudeur… Zheng
fude/AFP
En flammes. Il n’aura pas eu le temps d’être achevé.
L'incendie du pont en construction enjambant la baie de ZolotoÏ Rog dans le
centre de Vladivostok en Russie a débuté lundi soir dans un coffrage en bois.
Puis les flammes se sont rapidement propagées. Au total, ce sont plus de 167
pompiers et 38 engins qui ont été mobilisés sur la rive sud de la baie près de
la presqu'île de Tchourkine. Pour l’heure, il n’y aurait pas de victimes et les
circonstances de l’incendie restent inconnues. Le pont, était en construction
dans le cadre des préparatifs au sommet de l'Organisation de coopération
économique Asie-Pacifique et devait être mis en service l’été prochain. MARCOS MORENO/AFP
L’hommage. La cérémonie a duré un peu plus d’une demi-heure.
Le ministre de l’Intérieur Claude Guéant, des centaines de policiers ainsi que
des proches ont assisté ce lundi à Marseille à la cérémonie d’obsèques d’Eric
Vales. C’est dans la nuit du 27 au 28 novembre dernier que le lieutenant a été
touché à la tête et à l’épaule, par un tir de kalachnikov, après une course
poursuite avec des malfaiteurs soupçonnés d’avoir réalisé une série de
cambriolages. Au cours de la cérémonie, le lieutenant Eric Vales a été élevé, à
titre posthume, au grade de chevalier de la Légion d’honneur par le préfet de
région. Toujours à titre posthume, le fonctionnaire a reçu la médaille d’or pour
"actes de courage et de dévouement". Enfin, ultime distinction, celle remise par
le directeur général de la police nationale, Frédéric Péchenard qui a déposé la
médaille d’honneur de la police nationale. Coppee
Patrice/ABACA
Tempête médiatique. La fin de l'édition papier est
normalement programmée pour vendredi, mais France Soir n'est pas assuré survivre
sur internet et pourrait même disparaître. Alors, c’est une véritable opération
coup de poing de la CGT qui a été menée ce matin au siège du quotidien sur les
Champs-Elysées, à Paris. Après avoir répandu des dizaines de milliers
d'exemplaires du titre sur l'avenue, entre cinquante et cent syndicalistes ont
occupé les locaux du journal détenu par Alexandre Pugachev dans le but
d'empêcher la tenue d'un comité d'entreprise, consacré notamment à la mise en
œuvre d'un plan de sauvegarde de l'emploi. Pour l’heure, aucun repreneur sérieux
ne s'est manifesté pour reprendre le titre, qui a cumulé près de 13 millions
d'euros de pertes au premier semestre. En octobre, la diffusion France payée du
journal a chuté de 52,6 %, à 36 074 exemplaires, selon l'OJD. DUPUYFLORENT/SIPA PRESS
Sauvés. Des immigrants clandestins ont été interceptés ce
mardi par les autorités maritimes espagnoles, alors qu’ils tentaient d’entrer en
Espagne par la ville de Tarifa à bord d’une embarcation transportant 41
personnes. Aussitôt alertée, la police a envoyé un navire à leur rencontre. Ils
ont été conduits au port de Tarifa, puis transférés au commissariat de police
d’Algésiras en vue de leur rapatriement. MARCOS
MORENO/AFP
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